La pompe à chaleur consomme jusqu’à 60 % d’énergie en moins qu'un chauffage classique, réduisant significativement les factures énergétiques.

Elle utilise des sources renouvelables (air, sol ou eau), diminuant les émissions de CO₂ et l'impact environnemental.

Son installation est subventionnée par des aides telles que MaPrimeRénov’ et les primes énergie, rendant la transition plus accessible.

Avec un entretien annuel, une pompe à chaleur peut durer de 15 à 20 ans.

Avec un COP (Coefficient de Performance) souvent compris entre 3 et 5, une PAC peut produire 3 à 5 kWh de chaleur pour chaque kWh d’électricité consommé. En comparaison, les radiateurs électriques classiques ont un rendement de 1 pour 1. Cette différence permet de réduire la consommation d’électricité de 60 % à 75 % pour le chauffage.

Selon l'isolation de la maison et le type de pompe à chaleur, une PAC peut permettre d’économiser entre 1 000 et 2 000 € par an par rapport à un chauffage au fioul, gaz ou électrique.

En France, plusieurs aides financières (MaPrimeRénov’, éco-prêt à taux zéro, prime énergie) sont disponibles pour l’installation d’une PAC, réduisant de 20 % à 40 % le coût initial d’achat et d’installation. Ces aides accélèrent le retour sur investissement, souvent réalisé en 5 à 7 ans.

Bien que l’investissement initial soit plus élevé qu’un chauffage classique, les économies annuelles permettent une rentabilité sur le long terme. De plus, la durée de vie moyenne d’une PAC étant de 15 à 20 ans, elle garantit des économies durables, même si le prix de l’énergie augmente.